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21

C'est encore le cas, en 1912-1914 et en 1915-1916 dans les «Índices» de Bibliografía Española.

 

22

C'est ce que Mainer (1984) observe à propos de la «Biblioteca Renacimiento» qui propose des «productos de calidad reconocibles como tales, por sus "datos físicos", con cubiertas atractivas, tipografía cuidada, series coleccionables». On pourrait en dire de même de collections comme celles de Sopena ou de Biblioteca Patria.

 

23

Sur l'incidence de l'image de marque des auteurs, cf. Botrel, 2004.

 

24

Selon R. V. Ugarte: «tiempo y dinero, laboriosidad, la pureza, la rectitud de conciencia, el corazón, el sentido común de esta vida, la paz y la piedad (que) naufraga por completo» (Botrel, 2008, 33).

 

25

Voir, par exemple, celle concernant les œuvres éditées par la «Biblioteca Renacimiento» ou Doña Inés de Azorín en 1926 (apud Fernández Cifuentes, 1982, 357) ou encore La mujer y el torero où l'argumentation publicitaire utilise tous les registres y compris bibliologiques.

 

26

Celle-ci, qui constitue un premier filtre dans le processus d'élaboration du canon, est sans doute l'élément d'information du lecteur le plus attentivement étudié.

 

27

A titre d'exemple, qui s'ajoute à ceux donnés dans mon étude sur «Entregarse a la lectura...» (à paraître), ce texte publié dans le Catálogo de obras modernas de Pueyo, à propos du roman La hidra de Manuel Valcárcel y Julián Martín de Salazar auteurs par ailleurs de Amelia, Trini, Fiebre de amor et Las adelfas: «Al llegar a su última página habrá saboreado el lector la tersura de un Mexico tradicional, el sereno juicio de quienes hechos sin que lo desfigure el sectarismo; el profundo estudio de una época olvidada; la verdad fotográfica de su fisonomía... Algo en fin grande, digno, entusiasta y apasionado...».

 

28

A propos de La miseria del hogar, de Luis de Val, le rédacteur du prospectus affirme: «no es uno de esos cosmoramas literarios en forma de novela sino copia fiel de los dramas de la vida».

 

29

La plus fréquemment citée est celle faite, auprès de lectrices et publiée dans El Sol en mai 1927 et qui révèlent leurs préférences pour Galdós, Cervantes, Concha Espina y Pérez de Ayala, Benavente, Blasco Ibáñez, ou celle de Rivas Cherif (Rivalan, 2007, 61), à comparer avec celles des lectrices interwievées par Christine Rivalan-Guégo (2007) qui incluent Zamacois, Trigo, Hoyos y Vinent, Belda, Francés, López de Haro, Mata, Sassone, Retana, El caballero Audaz, Hernández Catá, Insúa, outre Pardo Bazán, Blasco Ibáñez, Dicenta, Artemio Precioso, ou Vidal y Planas.

 

30

Comme celui dressé par Entrambasaguas pour 1915-1939 (apud Barrère, 1983), qui distingue (pour les années 1915-1920) Pérez Lugín, Mata (Corazones sin rumbo), J. Mas (La orgía), G. Díaz-Caneja (El sobre en blanco), F. Camba (La revolución de Laíno), J. M. Acosta (Amor loco y amor cuerdo).